mercredi 5 novembre 2014

La Charia … ou l’esclavage des temps modernes


La Charia … ou l’esclavage des temps modernes


« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. » (Alexis de Tocqueville)

Dans nos sociétés occidentales, le citoyen lambda a du mal à comprendre l’interprétation de la parole de Dieu qui est donnée par l’Islam... Tout n’est que contradiction dans ses propos religieux. Ainsi, bien que Dieu soit loué en permanence –même quand il s’agit d’égorger aux cris d’« Allah Akbar ! »-, on ne peut être que choqué par les tolérances du Coran sur certains points et par son paradis voluptueux…
La loi de Jésus est généreuse ; elle ordonne le pardon, l’oubli de soi, le sacrifice, tandis que la loi de Mahomet prescrit le talion dans la vie sociale et néglige les commandements suprêmes : « Tu travailleras ; tu ne tueras point ! » Or, il n’est pas bien loin le temps où, un père furieux et honteux de la naissance chez lui d’une fille, l’enterrait vivante ou qu’un mari tenait à l’attache un troupeau d’esclaves dont il usait à sa fantaisie, sans retenue légale ou morale…
Par conséquent, rien ne révolte plus que cet état dépendant que l’Islam impose, notamment, à la femme, que ces préjugés, ces erreurs accumulées, ces hypocrisies sans bornes qui dominent la vie de cette race.
L’un des problèmes sur lequel la Tradition musulmane se heurte de plus en plus aux impératifs et aux valeurs du monde moderne est celui, précisément, de la condition de la femme, soumise à trois lois : la polygamie, le droit du jebr (mariage des mineurs sans les consulter) et la répudiation unilatérale.
Pour exemple, le Prophète Mahomet a épousé une petite fille âgée de six ans et le mariage a été consommé quand elle a eu neuf ans…
Sur la vie familiale –cellule de base de nos sociétés occidentales- les conceptions de l’Islam sont totalement étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Il y a quelques années de cela, à la suite des contestations qui avaient opposé, en France, des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leur enfant (c’est encore le cas aujourd’hui) –illustrant bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes- le cheikh Abbas Ben Cheikh El Hocine, à l’époque, recteur de la Mosquée de Paris, s’était permis de mettre en garde les femmes françaises qui épouseraient des Maghrébins. Il avait déclaré : « la future mère qui épouse un musulman doit savoir que les enfants issus de cette union seront musulmans. L’enfant est appelé à perpétuer le nom et l’identité religieuse de son père ».
Cette attitude s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. Dans le monde musulman, il n'y a pas de punition pour les crimes commis par les hommes contre les femmes. La charia (loi islamique) est axée strictement sur la punition des femmes.
Alors que dans les sociétés occidentales la femme est considérée comme étant l’égale de l’homme, le Coran (4,34) affirme que « les hommes ont autorité sur les femmes », que les « femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et que « si les hommes craignent la désobéissance de leur(s) femme(s) ils peuvent les exhorter et même les frapper ».
Pour les hommes comme pour les riches et les influents, la loi islamique est plus clémente. C'est ainsi que, par exemple, en Arabie Saoudite, récemment, une jeune femme violée a écopé d’un an de prison ferme et cent coups de fouet pour « adultère »… tandis que ses cinq agresseurs n'ont pas été inquiétés le moins du monde…
Au Koweit, on vous dira que « acheter des esclaves sexuelles permettrait aux hommes koweitiens « décents », « dévoués » et « virils » de résister au démon de l'adultère ». Mais cela est valable aussi au Qatar et dans toute la péninsule arabique. La femme n'étant qu'un objet, l'adultère n'y a pas le même sens qu’en Occident. Violer une femme, c’est également voler l'homme qui en est propriétaire. Dès lors, la femme devient adultère et doit être lapidée puisque par définition, c'est de sa faute. C’est l’Islam !...
C’est, pour les hommes, l'approbation légale de leurs crimes contre les femmes. C'est la liberté d'abuser d’elles et de les utiliser comme il leur plaît, sans limites. Par ailleurs, l’excision fait toujours partie des traditions, perpétuée de génération en génération afin que le plaisir amoureux que pourrait prendre la femme à la relation sexuelle reste toujours inférieur à celui de l’homme…
En Algérie, selon le quotidien « El Chourouk », 4000 femmes sont répudiées chaque année par leurs maris parce qu’elles ont un cancer du sein. Selon Hamida Kateb, présidente de l’association d’aide aux personnes atteintes de cancer, les hommes qui choisissent d’abandonner leurs épouses dans ce contexte « refusent d’accepter les changements physiques qui surviennent chez leurs femmes. Ils considèrent que ces femmes ne sont plus en mesure d’accomplir le devoir conjugal ». En plus de la terrible détresse psychologique et de l’isolement qui en résulte, les femmes répudiées du jour eu lendemain se retrouvent, pour la plupart, sans couverture sociale après le divorce et sans soins, car trop onéreux.
Au Nigéria, depuis des années, la secte musulmane Boko Haram (qui signifie « l’éducation à l’occidentale est impure ») ne cesse de perpétrer des abominations en tous genres : Assassinats, attentats, viols, massacres collectifs, rapts d’otages et de jeunes femmes destinées à des « mariages-esclaves » ou à l’entretien des harems.
Cette secte djihadiste capture femmes, jeunes filles, enfants pour les donner en esclaves sexuelles à ses soldats, les plus belles étant vendues à de riches africains ou arabes. L’horreur de la barbarie esclavagiste de Boko Haram relève sans contestation possible de ce que l’on désigne aujourd’hui comme crimes contre l’humanité. Ces crimes sont en effet perpétrés dans le plus total déni d’humanité de la femme, inhumainement traitée comme du bétail.
Un rapport de Human Rights Watch datant de fin 2013 fait notamment état d'enlèvements et de viols de femmes et de jeunes filles par le groupe islamiste et d'enrôlement de force de jeunes enfants.
On se souvient avec effroi de l’enlèvement de ces 276 jeunes filles, élèves d’un lycée de la ville de Chibok (Nigéria), enlevées le 14 avril 2014 dans leur établissement par des hommes armés et menaçants. Le chef de Boko Haram, le tristement célèbre, Abubaker Shekau, a aussitôt revendiqué les enlèvements, déclarant avoir enlevé les lycéennes parce que « l’éducation occidentale doit cesser » et que les filles « doivent quitter l’école et être mariées », menaçant, par ailleurs de vendre les jeunes filles sur le marché, « au nom d’Allah ».
Selon la Maison Blanche, « beaucoup d'entre elles ont probablement été déplacées hors du pays, vers des pays voisins », a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine, Marie Harf, tandis que des informations circulaient sur le possible transfert des adolescentes au Tchad et au Cameroun voisins, où elles auraient été vendues pour 12 dollars chacune.
L’enseignement étant désormais devenu impie, le 17 septembre 2014, deux djihadistes avec armes automatiques, grenades et ceintures d’explosifs ont pénétré à l’intérieur du « Federal College of Education » (Centre de formation des professeurs) de Kano et se sont livrés à un massacre, tuant 15 étudiants et en blessant une trentaine d’autres. Durant le seul mois de juillet, cinq attaques similaires, imputables à Boko Haram, ont eu lieu à Kano.
Confortée par l’incompétence et la veulerie de gouvernants corrompus, la démission et la déliquescence d’une armée nullement entretenue et non payée, cette secte s’enhardit à chacune de ses attaques, faisant régner sa loi et sa terreur en toute impunité. C’est ainsi que le 25 octobre 2014, 60 autres femmes et jeunes filles furent enlevées à Wagga et, le lendemain, une trentaine d’adolescents (garçons et filles) connurent le même sort dans un village de l’Etat de Borno, au nord-est du Nigéria… sans la moindre réaction des autorités.
…Et le calife autoproclamé, Abou Bakr al-Baghdadi, chef de l’Etat Islamique (EI), en fait autant en Irak et en Syrie. Ce sont des arabes chrétiennes, mais aussi yazidis et des musulmanes chiites qui sont présentées dans des cages, comme des animaux et serviront d'esclaves sexuelles autant que domestiques. Mise à prix une centaine de dollars « pièce » !...
« La liste des crimes atroces commis par l'État Islamique à l'encontre des Yézidis en Irak ne cesse de s'allonger », a déclaré Fred Abrahams, conseiller spécial à Human Rights Watch. « Nous avons recueilli des témoignages au sujet de conversions religieuses forcées et de mariages forcés, ainsi que d’agressions sexuelles et d’esclavagisme… et certaines victimes ne sont que des enfants. »
En août, les Nations unies ont notamment estimé que l’organisation terroriste avait réduit en esclavage sexuel environ 1 500 femmes et adolescentes dans le Nord de l’Irak et Amnesty International en a fait de même. On est bien loin –dans les faits- de l’illusion entretenue en Occident d’une religion musulmane « de paix et d’amour » tolérante envers les autres religions…
            Et ce qui nous révolte, nous, Français, c’est que face à ces abominations on n’entend nullement se dresser ni Caroline Fourest, ni Najat Belkacem, ni les Femen, ni Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République, ni son conseiller, Said Bouamama, de « Nique la France » qui n’ont de cesse de dénoncer « l’esclavagisme blanc » de jadis en occultant négligemment l’esclavagisme musulman. Il est vrai qu’en la matière, ils peuvent compter sur l’appui inconditionnel de Christiane Taubira, notre inénarrable ministre de « l’injustice », la passionaria indépendantiste guyanaise qui, dans L’Express du 4 Mai 2006 déclarait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! »… en contradiction flagrante avec l’anthropologue Malek Chebel qui écrit à ce sujet : « Parce que je suis un intellectuel musulman, je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »
                                                                                  José CASTANO
                                                           Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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Vidéo à visionner impérativement - Cliquez sur :

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L’Islam, religion de « paix et d’amour »… et la condition féminine

De jeunes filles musulmanes (encore enfants)
enchaînées pour être livrées à leurs prédateurs sexuels
               

      

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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014
Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM
Parking sur les quais


Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO dans le cadre du Colloque du Cercle algérianiste du GERS, le 27 novembre à 16 heures.

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