dimanche 7 décembre 2014

Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc

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Communiqué de presse

Aujourd'hui, 5 décembre, le maire de Béziers, Robert Ménard, a annoncé son intention de débaptiser la rue du «19 mars 1962» et de la renommer, rue «Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc».
Le Cercle algérianiste, principale association nationale de Français d'Algérie, salue cette décision courageuse, et rappelle que la guerre d'Algérie ne s'est pas arrêtée au 19 mars 1962, date après laquelle des dizaines de milliers de Harkis et de Pieds-Noirs ont été assassinés par le FLN, dans d'indescriptibles conditions.
Cette date, rejetée par la quasi-totalité du monde combattant, de même que par l'ensemble des associations de Harkis et de Pieds-Noirs, divise la nation et avive les blessures de milliers de familles de victimes.
Elle ne peut rassembler, ceux qui veulent commémorer la fin de la guerre d'Algérie, dans la dignité et le souvenir.
En choisissant de rebaptiser cette rue,», héros de la résistance et déporté à Buchenwald, le maire de Béziers rend hommage à une personnalité d'exception aux hautes valeurs morales et au sens de l'honneur indiscutable.
Rappelons, également, qu'Hélie Denoix de Saint-Marc a partagé la douleur et les épreuves des Pieds-Noirs et des Harkis, et n'a pas hésité à faire don de sa propre liberté pour respecter la parole donnée.
Le Cercle algérianiste appelle tous nos compatriotes, épris d'équité et de justice, à soutenir la décision du maire de Béziers, qui ouvre le champ de la mémoire, loin des carcans idéologiques, et reconnaît que les souffrances et les drames des Français d'Algérie ne peuvent être jetés dans les fosses de l'oubli.
Thierry ROLANDO
Président National du Cercle algérianiste

Pour apporter votre soutien à cette décision, vous pouvez écrire au Maire de Béziers :
- par email : com@ville-beziers.fr
- par poste : Mairie de Béziers - Secrétariat du Maire - Place Gabriel Péri CS 60715 - 34508 BÉZIERS Cedex

mardi 18 novembre 2014

Regarder les images!!!! Puis commencez à méditer sur l'avenir de vous enfants!!!

LA STRATÉGIE ISLAMIQUE DE LA TERREUR

« Les tortionnaires se ressemblent… Ils appartiennent à la sombre patrie des bourreaux et insultent d’abord à notre espèce avant de salir, au hasard des guerres, le drapeau de leurs victimes » (Pierre Moinot)

Le 22 septembre 2014, l'Etat  islamique (EI) a appelé sur les réseaux sociaux, le monde islamique « à tuer des citoyens, notamment Américains et Français, des pays formant la coalition internationale mise en place pour le combattre en Irak et en Syrie ».
Dans un  message diffusé en plusieurs langues, sous forme audio en arabe  avec une traduction en Anglais, Français et Hébreu, son porte-parole, Abou Mohammed Al-Adnani a déclaré :
« Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen –en particulier les méchants et sales Français– ou un Australien ou un Canadien ou tout citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l'Etat islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n'importe quelle manière ».
            Pour donner plus de poids à cette argumentation, le 24 septembre, le naïf, imprudent et inconscient otage Français, Hervé Gourdel, était, « pour l’exemple », décapité en Kabylie… (Le Département d’Etat américain avait pourtant informé les services français de ne se rendre en Algérie sous aucun prétexte. L’Algérie est sur la liste des pays extrêmement dangereux).
Cet acte barbare déclencha, en France, un électrochoc d’une intensité jamais atteinte auparavant…
Et pourtant !... Des égorgements et décapitations, il s’en produit, chaque jour, des dizaines –voire, des centaines- en terre d’Islam sous la sombre indifférence d’un monde par trop égoïste et blasé de tant de violence comme, l’exécution cet été, par l’Etat Islamique de 700 personnes d’une tribu syrienne fidèle à Bachar El-Assad et, à Racca (Nord de la Syrie), de soldats de l’armée régulière dont les têtes ont été plantées sur des poteaux en guise de trophées et largement diffusées sur le net. Début novembre, 600 autres membres d’une tribu Bounemer, en Irak ont connu le même sort…
Le 16 novembre 2014, une nouvelle vidéo mise en ligne par l’Etat Islamique met en scène la décapitation de dix-huit soldats syriens et de l’otage américain Peter Kassig… qui a adopté le prénom d’Abdul Rahman après sa conversion à l’Islam fin 2013… ce qui ne l’a pas épargné pour autant.
Depuis le début de ce conflit, nos médias n’ont eu de cesse –comme pour minimiser l’horreur de ces exécutions- de véhiculer l’idée qu’Hervé Gourdel, James Foley, Steven Sotloff, David Haines avaient été décapités… comme la guillotine permettait de le faire il y a encore un demi-siècle, en France. Cela fait plus « propre » et heurte moins les sensibilités… mais la vérité est tout autre. Ces hommes ont étéégorgés comme des moutons, exécutés avec une bestialité innommable dans le but de terroriser la victime, la faire souffrir et la reléguer au rang d’animal… ce qui rend actuelle la remarque de Confucius : « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté ». Cette barbarie accomplie, on les a alors décapités, puis on a posé leur tête sur leur corps. Et quelle que soit la victime sacrifiée, le but à atteindre et les procédés utilisés sont les mêmes…
On agenouille l’otage, mains liées dans le dos devant une caméra. Durant un laps de temps effroyable d’angoisse qui doit sembler une éternité pour lui (ce qui ajoute à son tourment), le bourreau cagoulé harangue l’occident et la chrétienté. Et pas un secours humain à espérer, rien, personne !... et l’horreur de voir venir sa mort… Puis c’est un bref silence durant lequel le temps paraît suspendre son cours… Une face de bile noire s’écrase sur la victime… Un geste de sacrificateur et l’éclair d’une lame qui s’abat déclenchant aussitôt une salve d’Allah Akbar !… Avec un crissement horrible, elle entaille le cou, pénètre, hache et tranche dans la gorge du supplicié son dernier hurlement sous les vociférations bestiales d’une meute assoiffée de sang tandis que la main libre du bourreau écrase les yeux de la victime.
            Ces scènes reproduites à l’infini dans un but précis atteignent à l’horreur d’une cérémonie ensanglantée par des sacrifices humains… Et le choix de l’égorgement au couteau ne doit rien au hasard… « Dans une société acclimatée à la violence par arme à feu, au cinéma et à la télé, l’Etat Islamique devait se démarquer et gravir un degré supplémentaire dans l’horreur », explique le criminologue Patrick Morvan. « Cette barbarie sanglante est une opération de communication », précise-t-il.
En effet, les membres de l'État islamique ou autres djihadistes maîtrisent parfaitement la mise en scène de leurs forfaits. Question marketing de la terreur, il semble difficile de les concurrencer sur ce terrain-là.… Les images sont aussitôt diffusées sur les réseaux sociaux dans un but précis : Répandre la terreur !... Laisser la peur envahir les citoyens du monde et,  en premier lieu, les Arabes eux-mêmes, sachant qu’elle demeurerait tapie en eux comme une bête cruelle et s’installerait pour des temps infinis.
Et cette décapitation relève, en réalité, d’une culture, d’une coutume, d’un rituel, d’une tradition institués par Mahomet qui déclara dans un hadith : « Ô gens de Qoraïch ! Écoutez bien ! Au nom de celui qui détient mon âme entre ses mains, je suis venu à vous par l’égorgement ! »
Et, joignant le geste à la parole, le fondateur de l’Islam ordonna la décapitation, en l’an 627, de tous les hommes pubères de la tribu juive desBanu Qurayza après la « bataille de la Tranchée » (800 à 900 personnes) et la réduction de leurs femmes et enfants en esclavage.
« L’Envoyé d’Allah les fit chercher et les décapita dans les fossés alors qu’ils lui étaient amenés par groupes. Ils étaient 800 à 900 », rapporte à cet effet l’historien musulman Ibn Ishaq dans sa biographie de Mahomet (« Sîrat Rasûl Allah », c’est-à-dire « Biographie du Messager de Dieu »), écrite entre l’an 740 et l’an 770.
            Depuis lors, pour justifier leurs décapitations, les barbares se réfèrent au Coran qui, dans sa Sourate 8, 12-13, précise :
« Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : Affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants [les non-musulmans]. Donc frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à son messager ».
            Par ailleurs, quand les pères, chaque année lors de la « Fête du mouton » (l’Aïd el-Kebir),  apprennent à leurs jeunes garçons à égorger des moutons, ils les rendent, de fait, mentalement insensibles à cet acte barbare qu’ils considèrent naturel, adéquat et juste, approprié à la situation dans laquelle il est accompli.
Devenus adultes, ils pérennisent à leur tour cette coutume de l’abattage qui, inéluctablement, débouche sur d’inévitables agressions barbares comme, entre autres, celle pratiquée sur les sept marins italiens à bord de leur navire dans le port de Gigel (anciennement Djidjelli), sur les sept moines trappistes français du monastère de Tibhirine enlevés en mars 1996 et retrouvés décapités deux mois plus tard et sur les deux religieuses espagnoles qui aidaient des familles malheureuses dans un quartier pauvre à Alger… autant d’actes monstrueux commis au nom de cet islam que la « bien pensante » qualifie toujours de religion « de paix et d’amour, pacifique et tolérante ».
            Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Nous sommes ici –comme hier, en Algérie- en présence du plus monstrueux florilège du crime qui puisse se concevoir. Ce n’est pas de guerre –au sens conventionnel du terme qu’il s’agit- mais d’extermination ! De massacres perpétrés dans des conditions atroces sur des innocents. Les images qui représentent ces égorgements, ces décapitations, ces visages mutilés au couteau, ces corps déchiquetés, ces femmes vitriolées, lapidées après avoir été violées, reculent les limites assignées à l’horreur. Ni l’amour, ni les bienfaits ne suffiraient à vaincre ce fléau, car ces trésors prodigués pendant des mois, des années, seraient –comme hier, en Algérie- ramenés au néant par un seul cadavre abandonné la gorge ouverte au travers d’une piste ou pendu à l’entrée d’un village.
            Churchill s’est écrié un jour : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! ». Dans cette logique, la guerre d’Algérie a produit des monstres tout aussi ignobles que ceux qu’il nous est donné de découvrir aujourd’hui et c’est parce que l’on s’est toujours désintéressé de ce douloureux passé que l’on voit, désormais, reproduites à l’identique, ressurgir tant de créatures du diable… et le diable n’apparaît qu’à celui qui le craint.

José CASTANO
                                                                 Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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A l’attention des « bonnes consciences » qui qualifient encore de « torchons » mes articles sur l’Islam… Cette vidéo témoigne de l’exécution de Peter Kassig et des 18 soldats Syriens. Au nombre des barbares, un jeune Français, originaire de l’Eure, Maxime Hauchard, qui s’est converti à l’Islam à 17 ans. Au moment de l’entretien, il confiait à BFMTV qu’il allait participer à une « mission spectaculaire » et qu’il était prêt à mourir en martyr. La chance pour lui, c’est que le gouvernement français s’interdit de bombarder les zones djihadiste de Syrie« pour ne pas risquer la vie de ses ressortissants (terroristes) »… De quoi se rouler avec volupté sur une haie de figuiers de barbarie !...


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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014
Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM
Parking sur les quais

Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO dans le cadre du Colloque du Cercle algérianiste du GERSle 27 novembre à 16 heures.

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Ils grandissent dans la barbarie!!! Vous vous agenouillez dans votre incapacité à vous mobiliser!!!!

LA STRATÉGIE ISLAMIQUE DE LA TERREUR

« Les tortionnaires se ressemblent… Ils appartiennent à la sombre patrie des bourreaux et insultent d’abord à notre espèce avant de salir, au hasard des guerres, le drapeau de leurs victimes » (Pierre Moinot)

Le 22 septembre 2014, l'Etat  islamique (EI) a appelé sur les réseaux sociaux, le monde islamique « à tuer des citoyens, notamment Américains et Français, des pays formant la coalition internationale mise en place pour le combattre en Irak et en Syrie ».
Dans un  message diffusé en plusieurs langues, sous forme audio en arabe  avec une traduction en Anglais, Français et Hébreu, son porte-parole, Abou Mohammed Al-Adnani a déclaré :
« Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen –en particulier les méchants et sales Français– ou un Australien ou un Canadien ou tout citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l'Etat islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n'importe quelle manière ».
            Pour donner plus de poids à cette argumentation, le 24 septembre, le naïf, imprudent et inconscient otage Français, Hervé Gourdel, était, « pour l’exemple », décapité en Kabylie… (Le Département d’Etat américain avait pourtant informé les services français de ne se rendre en Algérie sous aucun prétexte. L’Algérie est sur la liste des pays extrêmement dangereux).
Cet acte barbare déclencha, en France, un électrochoc d’une intensité jamais atteinte auparavant…
Et pourtant !... Des égorgements et décapitations, il s’en produit, chaque jour, des dizaines –voire, des centaines- en terre d’Islam sous la sombre indifférence d’un monde par trop égoïste et blasé de tant de violence comme, l’exécution cet été, par l’Etat Islamique de 700 personnes d’une tribu syrienne fidèle à Bachar El-Assad et, à Racca (Nord de la Syrie), de soldats de l’armée régulière dont les têtes ont été plantées sur des poteaux en guise de trophées et largement diffusées sur le net. Début novembre, 600 autres membres d’une tribu Bounemer, en Irak ont connu le même sort…
Le 16 novembre 2014, une nouvelle vidéo mise en ligne par l’Etat Islamique met en scène la décapitation de dix-huit soldats syriens et de l’otage américain Peter Kassig… qui a adopté le prénom d’Abdul Rahman après sa conversion à l’Islam fin 2013… ce qui ne l’a pas épargné pour autant.
Depuis le début de ce conflit, nos médias n’ont eu de cesse –comme pour minimiser l’horreur de ces exécutions- de véhiculer l’idée qu’Hervé Gourdel, James Foley, Steven Sotloff, David Haines avaient été décapités… comme la guillotine permettait de le faire il y a encore un demi-siècle, en France. Cela fait plus « propre » et heurte moins les sensibilités… mais la vérité est tout autre. Ces hommes ont étéégorgés comme des moutons, exécutés avec une bestialité innommable dans le but de terroriser la victime, la faire souffrir et la reléguer au rang d’animal… ce qui rend actuelle la remarque de Confucius : « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté ». Cette barbarie accomplie, on les a alors décapités, puis on a posé leur tête sur leur corps. Et quelle que soit la victime sacrifiée, le but à atteindre et les procédés utilisés sont les mêmes…
On agenouille l’otage, mains liées dans le dos devant une caméra. Durant un laps de temps effroyable d’angoisse qui doit sembler une éternité pour lui (ce qui ajoute à son tourment), le bourreau cagoulé harangue l’occident et la chrétienté. Et pas un secours humain à espérer, rien, personne !... et l’horreur de voir venir sa mort… Puis c’est un bref silence durant lequel le temps paraît suspendre son cours… Une face de bile noire s’écrase sur la victime… Un geste de sacrificateur et l’éclair d’une lame qui s’abat déclenchant aussitôt une salve d’Allah Akbar !… Avec un crissement horrible, elle entaille le cou, pénètre, hache et tranche dans la gorge du supplicié son dernier hurlement sous les vociférations bestiales d’une meute assoiffée de sang tandis que la main libre du bourreau écrase les yeux de la victime.
            Ces scènes reproduites à l’infini dans un but précis atteignent à l’horreur d’une cérémonie ensanglantée par des sacrifices humains… Et le choix de l’égorgement au couteau ne doit rien au hasard… « Dans une société acclimatée à la violence par arme à feu, au cinéma et à la télé, l’Etat Islamique devait se démarquer et gravir un degré supplémentaire dans l’horreur », explique le criminologue Patrick Morvan. « Cette barbarie sanglante est une opération de communication », précise-t-il.
En effet, les membres de l'État islamique ou autres djihadistes maîtrisent parfaitement la mise en scène de leurs forfaits. Question marketing de la terreur, il semble difficile de les concurrencer sur ce terrain-là.… Les images sont aussitôt diffusées sur les réseaux sociaux dans un but précis : Répandre la terreur !... Laisser la peur envahir les citoyens du monde et,  en premier lieu, les Arabes eux-mêmes, sachant qu’elle demeurerait tapie en eux comme une bête cruelle et s’installerait pour des temps infinis.
Et cette décapitation relève, en réalité, d’une culture, d’une coutume, d’un rituel, d’une tradition institués par Mahomet qui déclara dans un hadith : « Ô gens de Qoraïch ! Écoutez bien ! Au nom de celui qui détient mon âme entre ses mains, je suis venu à vous par l’égorgement ! »
Et, joignant le geste à la parole, le fondateur de l’Islam ordonna la décapitation, en l’an 627, de tous les hommes pubères de la tribu juive desBanu Qurayza après la « bataille de la Tranchée » (800 à 900 personnes) et la réduction de leurs femmes et enfants en esclavage.
« L’Envoyé d’Allah les fit chercher et les décapita dans les fossés alors qu’ils lui étaient amenés par groupes. Ils étaient 800 à 900 », rapporte à cet effet l’historien musulman Ibn Ishaq dans sa biographie de Mahomet (« Sîrat Rasûl Allah », c’est-à-dire « Biographie du Messager de Dieu »), écrite entre l’an 740 et l’an 770.
            Depuis lors, pour justifier leurs décapitations, les barbares se réfèrent au Coran qui, dans sa Sourate 8, 12-13, précise :
« Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : Affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants [les non-musulmans]. Donc frappez-les au-dessus des cous [décapitez-les] et frappez-les sur tous les bouts des doigts [amputations]. Cela, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à son messager ».
            Par ailleurs, quand les pères, chaque année lors de la « Fête du mouton » (l’Aïd el-Kebir),  apprennent à leurs jeunes garçons à égorger des moutons, ils les rendent, de fait, mentalement insensibles à cet acte barbare qu’ils considèrent naturel, adéquat et juste, approprié à la situation dans laquelle il est accompli.
Devenus adultes, ils pérennisent à leur tour cette coutume de l’abattage qui, inéluctablement, débouche sur d’inévitables agressions barbares comme, entre autres, celle pratiquée sur les sept marins italiens à bord de leur navire dans le port de Gigel (anciennement Djidjelli), sur les sept moines trappistes français du monastère de Tibhirine enlevés en mars 1996 et retrouvés décapités deux mois plus tard et sur les deux religieuses espagnoles qui aidaient des familles malheureuses dans un quartier pauvre à Alger… autant d’actes monstrueux commis au nom de cet islam que la « bien pensante » qualifie toujours de religion « de paix et d’amour, pacifique et tolérante ».
            Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Nous sommes ici –comme hier, en Algérie- en présence du plus monstrueux florilège du crime qui puisse se concevoir. Ce n’est pas de guerre –au sens conventionnel du terme qu’il s’agit- mais d’extermination ! De massacres perpétrés dans des conditions atroces sur des innocents. Les images qui représentent ces égorgements, ces décapitations, ces visages mutilés au couteau, ces corps déchiquetés, ces femmes vitriolées, lapidées après avoir été violées, reculent les limites assignées à l’horreur. Ni l’amour, ni les bienfaits ne suffiraient à vaincre ce fléau, car ces trésors prodigués pendant des mois, des années, seraient –comme hier, en Algérie- ramenés au néant par un seul cadavre abandonné la gorge ouverte au travers d’une piste ou pendu à l’entrée d’un village.
            Churchill s’est écrié un jour : « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre ! ». Dans cette logique, la guerre d’Algérie a produit des monstres tout aussi ignobles que ceux qu’il nous est donné de découvrir aujourd’hui et c’est parce que l’on s’est toujours désintéressé de ce douloureux passé que l’on voit, désormais, reproduites à l’identique, ressurgir tant de créatures du diable… et le diable n’apparaît qu’à celui qui le craint.

José CASTANO
                                                                 Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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A l’attention des « bonnes consciences » qui qualifient encore de « torchons » mes articles sur l’Islam… Cette vidéo témoigne de l’exécution de Peter Kassig et des 18 soldats Syriens. Au nombre des barbares, un jeune Français, originaire de l’Eure, Maxime Hauchard, qui s’est converti à l’Islam à 17 ans. Au moment de l’entretien, il confiait à BFMTV qu’il allait participer à une « mission spectaculaire » et qu’il était prêt à mourir en martyr. La chance pour lui, c’est que le gouvernement français s’interdit de bombarder les zones djihadiste de Syrie« pour ne pas risquer la vie de ses ressortissants (terroristes) »… De quoi se rouler avec volupté sur une haie de figuiers de barbarie !...


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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014
Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM
Parking sur les quais

Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO dans le cadre du Colloque du Cercle algérianiste du GERSle 27 novembre à 16 heures.

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mercredi 5 novembre 2014

La Charia … ou l’esclavage des temps modernes


La Charia … ou l’esclavage des temps modernes


« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. » (Alexis de Tocqueville)

Dans nos sociétés occidentales, le citoyen lambda a du mal à comprendre l’interprétation de la parole de Dieu qui est donnée par l’Islam... Tout n’est que contradiction dans ses propos religieux. Ainsi, bien que Dieu soit loué en permanence –même quand il s’agit d’égorger aux cris d’« Allah Akbar ! »-, on ne peut être que choqué par les tolérances du Coran sur certains points et par son paradis voluptueux…
La loi de Jésus est généreuse ; elle ordonne le pardon, l’oubli de soi, le sacrifice, tandis que la loi de Mahomet prescrit le talion dans la vie sociale et néglige les commandements suprêmes : « Tu travailleras ; tu ne tueras point ! » Or, il n’est pas bien loin le temps où, un père furieux et honteux de la naissance chez lui d’une fille, l’enterrait vivante ou qu’un mari tenait à l’attache un troupeau d’esclaves dont il usait à sa fantaisie, sans retenue légale ou morale…
Par conséquent, rien ne révolte plus que cet état dépendant que l’Islam impose, notamment, à la femme, que ces préjugés, ces erreurs accumulées, ces hypocrisies sans bornes qui dominent la vie de cette race.
L’un des problèmes sur lequel la Tradition musulmane se heurte de plus en plus aux impératifs et aux valeurs du monde moderne est celui, précisément, de la condition de la femme, soumise à trois lois : la polygamie, le droit du jebr (mariage des mineurs sans les consulter) et la répudiation unilatérale.
Pour exemple, le Prophète Mahomet a épousé une petite fille âgée de six ans et le mariage a été consommé quand elle a eu neuf ans…
Sur la vie familiale –cellule de base de nos sociétés occidentales- les conceptions de l’Islam sont totalement étrangères aux nôtres. Elles assujettissent la femme aux privilèges masculins. Il y a quelques années de cela, à la suite des contestations qui avaient opposé, en France, des Européennes divorcées de musulmans se plaignant de s’être vu enlever leur enfant (c’est encore le cas aujourd’hui) –illustrant bien l’incompatibilité dramatique de deux conceptions différentes- le cheikh Abbas Ben Cheikh El Hocine, à l’époque, recteur de la Mosquée de Paris, s’était permis de mettre en garde les femmes françaises qui épouseraient des Maghrébins. Il avait déclaré : « la future mère qui épouse un musulman doit savoir que les enfants issus de cette union seront musulmans. L’enfant est appelé à perpétuer le nom et l’identité religieuse de son père ».
Cette attitude s’explique dans une société où la lignée l’emporte sur l’individu, et les droits de l’homme sur ceux de la femme. Dans le monde musulman, il n'y a pas de punition pour les crimes commis par les hommes contre les femmes. La charia (loi islamique) est axée strictement sur la punition des femmes.
Alors que dans les sociétés occidentales la femme est considérée comme étant l’égale de l’homme, le Coran (4,34) affirme que « les hommes ont autorité sur les femmes », que les « femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et que « si les hommes craignent la désobéissance de leur(s) femme(s) ils peuvent les exhorter et même les frapper ».
Pour les hommes comme pour les riches et les influents, la loi islamique est plus clémente. C'est ainsi que, par exemple, en Arabie Saoudite, récemment, une jeune femme violée a écopé d’un an de prison ferme et cent coups de fouet pour « adultère »… tandis que ses cinq agresseurs n'ont pas été inquiétés le moins du monde…
Au Koweit, on vous dira que « acheter des esclaves sexuelles permettrait aux hommes koweitiens « décents », « dévoués » et « virils » de résister au démon de l'adultère ». Mais cela est valable aussi au Qatar et dans toute la péninsule arabique. La femme n'étant qu'un objet, l'adultère n'y a pas le même sens qu’en Occident. Violer une femme, c’est également voler l'homme qui en est propriétaire. Dès lors, la femme devient adultère et doit être lapidée puisque par définition, c'est de sa faute. C’est l’Islam !...
C’est, pour les hommes, l'approbation légale de leurs crimes contre les femmes. C'est la liberté d'abuser d’elles et de les utiliser comme il leur plaît, sans limites. Par ailleurs, l’excision fait toujours partie des traditions, perpétuée de génération en génération afin que le plaisir amoureux que pourrait prendre la femme à la relation sexuelle reste toujours inférieur à celui de l’homme…
En Algérie, selon le quotidien « El Chourouk », 4000 femmes sont répudiées chaque année par leurs maris parce qu’elles ont un cancer du sein. Selon Hamida Kateb, présidente de l’association d’aide aux personnes atteintes de cancer, les hommes qui choisissent d’abandonner leurs épouses dans ce contexte « refusent d’accepter les changements physiques qui surviennent chez leurs femmes. Ils considèrent que ces femmes ne sont plus en mesure d’accomplir le devoir conjugal ». En plus de la terrible détresse psychologique et de l’isolement qui en résulte, les femmes répudiées du jour eu lendemain se retrouvent, pour la plupart, sans couverture sociale après le divorce et sans soins, car trop onéreux.
Au Nigéria, depuis des années, la secte musulmane Boko Haram (qui signifie « l’éducation à l’occidentale est impure ») ne cesse de perpétrer des abominations en tous genres : Assassinats, attentats, viols, massacres collectifs, rapts d’otages et de jeunes femmes destinées à des « mariages-esclaves » ou à l’entretien des harems.
Cette secte djihadiste capture femmes, jeunes filles, enfants pour les donner en esclaves sexuelles à ses soldats, les plus belles étant vendues à de riches africains ou arabes. L’horreur de la barbarie esclavagiste de Boko Haram relève sans contestation possible de ce que l’on désigne aujourd’hui comme crimes contre l’humanité. Ces crimes sont en effet perpétrés dans le plus total déni d’humanité de la femme, inhumainement traitée comme du bétail.
Un rapport de Human Rights Watch datant de fin 2013 fait notamment état d'enlèvements et de viols de femmes et de jeunes filles par le groupe islamiste et d'enrôlement de force de jeunes enfants.
On se souvient avec effroi de l’enlèvement de ces 276 jeunes filles, élèves d’un lycée de la ville de Chibok (Nigéria), enlevées le 14 avril 2014 dans leur établissement par des hommes armés et menaçants. Le chef de Boko Haram, le tristement célèbre, Abubaker Shekau, a aussitôt revendiqué les enlèvements, déclarant avoir enlevé les lycéennes parce que « l’éducation occidentale doit cesser » et que les filles « doivent quitter l’école et être mariées », menaçant, par ailleurs de vendre les jeunes filles sur le marché, « au nom d’Allah ».
Selon la Maison Blanche, « beaucoup d'entre elles ont probablement été déplacées hors du pays, vers des pays voisins », a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine, Marie Harf, tandis que des informations circulaient sur le possible transfert des adolescentes au Tchad et au Cameroun voisins, où elles auraient été vendues pour 12 dollars chacune.
L’enseignement étant désormais devenu impie, le 17 septembre 2014, deux djihadistes avec armes automatiques, grenades et ceintures d’explosifs ont pénétré à l’intérieur du « Federal College of Education » (Centre de formation des professeurs) de Kano et se sont livrés à un massacre, tuant 15 étudiants et en blessant une trentaine d’autres. Durant le seul mois de juillet, cinq attaques similaires, imputables à Boko Haram, ont eu lieu à Kano.
Confortée par l’incompétence et la veulerie de gouvernants corrompus, la démission et la déliquescence d’une armée nullement entretenue et non payée, cette secte s’enhardit à chacune de ses attaques, faisant régner sa loi et sa terreur en toute impunité. C’est ainsi que le 25 octobre 2014, 60 autres femmes et jeunes filles furent enlevées à Wagga et, le lendemain, une trentaine d’adolescents (garçons et filles) connurent le même sort dans un village de l’Etat de Borno, au nord-est du Nigéria… sans la moindre réaction des autorités.
…Et le calife autoproclamé, Abou Bakr al-Baghdadi, chef de l’Etat Islamique (EI), en fait autant en Irak et en Syrie. Ce sont des arabes chrétiennes, mais aussi yazidis et des musulmanes chiites qui sont présentées dans des cages, comme des animaux et serviront d'esclaves sexuelles autant que domestiques. Mise à prix une centaine de dollars « pièce » !...
« La liste des crimes atroces commis par l'État Islamique à l'encontre des Yézidis en Irak ne cesse de s'allonger », a déclaré Fred Abrahams, conseiller spécial à Human Rights Watch. « Nous avons recueilli des témoignages au sujet de conversions religieuses forcées et de mariages forcés, ainsi que d’agressions sexuelles et d’esclavagisme… et certaines victimes ne sont que des enfants. »
En août, les Nations unies ont notamment estimé que l’organisation terroriste avait réduit en esclavage sexuel environ 1 500 femmes et adolescentes dans le Nord de l’Irak et Amnesty International en a fait de même. On est bien loin –dans les faits- de l’illusion entretenue en Occident d’une religion musulmane « de paix et d’amour » tolérante envers les autres religions…
            Et ce qui nous révolte, nous, Français, c’est que face à ces abominations on n’entend nullement se dresser ni Caroline Fourest, ni Najat Belkacem, ni les Femen, ni Houria Bouteldja du Parti des Indigènes de la République, ni son conseiller, Said Bouamama, de « Nique la France » qui n’ont de cesse de dénoncer « l’esclavagisme blanc » de jadis en occultant négligemment l’esclavagisme musulman. Il est vrai qu’en la matière, ils peuvent compter sur l’appui inconditionnel de Christiane Taubira, notre inénarrable ministre de « l’injustice », la passionaria indépendantiste guyanaise qui, dans L’Express du 4 Mai 2006 déclarait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! »… en contradiction flagrante avec l’anthropologue Malek Chebel qui écrit à ce sujet : « Parce que je suis un intellectuel musulman, je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »
                                                                                  José CASTANO
                                                           Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

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L’Islam, religion de « paix et d’amour »… et la condition féminine

De jeunes filles musulmanes (encore enfants)
enchaînées pour être livrées à leurs prédateurs sexuels
               

      

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Colloque du Cercle algérianiste du GERS – 27 et 28 Novembre 2014
Théâtre de Condom - 1 rue de la République - 32 100 CONDOM
Parking sur les quais


Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42

Conférence sur : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

De l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
L’Odyssée et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.

« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans  les défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés, admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en criant : « Vive la Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »

Cette conférence sera donnée par José CASTANO dans le cadre du Colloque du Cercle algérianiste du GERS, le 27 novembre à 16 heures.