mardi 26 mars 2013

Mers El Kébir, 1200 marins attendent le bon vouloir des politiques corrompus par l'idéologie Gaulliste. Ces hommes qui se disent honorer la Patrie, crachent une fois de plus sur les cadavres exhumés par les Arabes et islamistes algériens.  Les Présidents en fonction, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy sont responsables. Mais un avis  défavorable aux retour de ces marins en Bretagne afin de ne pas troubler le repos d'un homme qui libéra la France à lui seul!!!!

Mardi 26 mars 2013
> > large02315920012394722091[1]Alger : Claude Bartolone rend hommage
aux morts du FLN étiez vous informés?Le président de l’Assemblée nationale française, Claude Bartolone, s’est recueilli lundi au
sanctuaire du Martyr à Alger, à la mémoire des Martyrs de la révolution. Claude Bartolone a
déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorative des chouhada et observé une
minute de silence à la mémoire des Martyrs de la guerre de Libération nationale. Mais où sont nos 480 soldats portés disparues après le cessez le cessé le feu  du 19 mars 1962? Tout va bien ici !!!!

La France s’en va-t-en guerre… au Mali. Le président dramatise, sur fond tricolore. Sûr qu’il lui fallait revêtir un treillis, à notre glorieux chef des Armées, marionnette relookée d’un petit fils du Père de la Nation. Maréchal Hollande, nous voilà ! Tout cela est grotesque : Guignol en comique-troupier n’est plus au Jardin d’Acclimatation ou au parc Montsouris, mais à l’Élysée où, à chaque coup de feu, notre foudre de guerre en remet une couche. Alerte rouge, renforcement du plan vigie pirate, consulats et ambassades sous haute surveillance. Chiche qu’on rappelle les réservistes !

> large02315920012394722091[1]  Les zones de non droit sont de plus en plus importantes!


Dans la France profonde, l’Afrique, on s’en tape les reins : « Ce n’est pas au Mali, au Tchad ou en Côte d’Ivoire qu’il faut envoyer nos troupes, mais dans nos cités où le terrorisme est quotidien » enrage-t-on dans les quartiers où les opérations de guérilla se multiplient en toute impunité. Il y a, bien sûr, Marseille où l’on manie volontiers la kalachnikov, sur fond de trafics de drogue dans les quartiers Nord. Il y a Villeurbanne ou Lyon, le plateau de la Duchère, ses immenses barres HLM et ses voitures qui brûlent, Toulouse et le Mirail, Garges-lès-Gonesse ou encore le Val Fourré dont les excès défigurent Mantes-le-Jolie.
Mais c’est à Mulhouse que la violence est quasi quotidienne depuis le début de la nouvelle année. La semaine dernière, un tram a été littéralement attaqué dans le quartier des Coteaux. Cagoulés ou masqués, une douzaine d’agresseurs avaient minutieusement préparé leur traquenard en accumulant des barrières de chantier sur les rails, obligeant la rame à s’arrêter. On imagine la suite : le tram a été caillassé et des engins incendiaires lancés sur l’avant du véhicule. « Ils veulent la guerre ? Ils l’auront ! » déclare le lendemain le procureur de la République. Et pour bien montrer qu’il ne se paye pas de mots, il décide sur le champ d’ouvrir une information judiciaire pour « tentative de meurtre » sur le conducteur du tram.
Bien mal lui en prit : sans doute rappelé à l’ordre par sa hiérarchie, le procureur ne retiendra en définitive que le chef d’accusation de« destruction de biens par incendie au moyen dangereux pour la sécurité des personnes ». L’état de guerre a tourné court…
Mais les combats n’ont pas cessé : les pompiers sont régulièrement pris à partie. Appelés sur les lieux, leurs véhicules de secours sont attaqués, victimes de véritables guet-apens. Leurs syndicats dénoncent des« tentatives de meurtre ». Le ministère de l’Intérieur a envoyé une compagnie et demie de CRS supplémentaire. Avec le renforcement du plan vigie pirate, ils seront sans doute affectés à la surveillance du consulat d’Algérie ou au contrôle des automobilistes…
La colère gronde dans les quartiers de Mulhouse : ce ne sont pas des visites de ministre que l’on réclame, mais une véritable déclaration de guerre, comme au Mali, à destination des délinquants, trafiquants et autres caïds de banlieue… Mais avec notre Gamelin de Corrèze c’est, comme en 40, perdu d’avance !