lundi 14 décembre 2015

OUF !... LA FRANCE EST SAUVEE !... Le fascisme n’est pas passé


« Hors de question de laisser le Front National gagner une région !... Tout devra être fait pour l’emporter. » (Manuel VALLS)

antifafascismetue  Francaisbaises

Ouf ! Nous avons eu chaud !... « Le fascisme n’est pas passé ! » et comme s’écriait Molière dans « Les femmes savantes » : « Nous l’avons, en dormant, Madame, échappé belle !... ». Les Français pourront désormais se replonger dans leur amnésie congénitale et reprendre leur sommeil…
Brave peuple, continue à ne rien vouloir entendre, ni à ne rien vouloir voir… Persiste dans ta léthargie mais, combien dur sera le réveil !... 
            Dans l’immédiat, grâce au ciel, il n’y aura pas de « chemises brunes » ; la « guerre civile » prédite par notre Premier Ministre en cas de victoire du FN, n’aura pas lieu (les émeutes, la violence et le terrorisme pourront, en revanche, perdurer) ; les camps d’internement ne seront pas ouverts ; la liberté vivra ; les « droits de l’homme » seront respectés ; l’économie repartira à la hausse ; le chômage déclinera ; la paix et la sécurité seront assurées… « L'ânerie humaine est la source des pires catastrophes... Mais aussi une mine d'or inépuisable pour qui sait l'exploiter » se plaisait à dire Montaigne.
Déjà, à la veille des élections départementales, Manuel Valls, avait clairement identifié son ennemi en jouant à outrance de la démagogie et en pesant sur les peurs : « Si je fais campagne, c’est que j’ai peur pour mon pays, peur qu’il se fracasse contre le FN » … Puis, lors du « grand rendez-vous d’Europe1 » : « Je revendique la stigmatisation de Marine Le Pen. » (...) C’est un programme qui jettera les Français les uns contre les autres ».
Ainsi le combat essentiel mené par le Premier ministre était-il clairement défini. À ses yeux, ce n’était pas l’islam (et tout ce qu’il engendre d’insécurité) qui posait problème… c’était le FN ! Pour le prouver, il prit soin d’afficher clairement devant un parterre de 150 personnalités musulmanes lors du lancement de « l’instance de dialogue », le 15 juin 2015 : « L’islam est en France pour y rester ! » et, le 17 août 2015, lors du séminaire de rentrée du gouvernement à l’Elysée, consacré à la « France de 2025 » : « L’islam est compatible avec la démocratie ». Monsieur Valls devrait aller faire un petit tour dans les pays musulmans pour voir à quel point les régimes en place sont « démocratiques »…
La Bruyère, traitant des hommes, dans « Les Caractères », a ce mot crucifiant : « À quelques-uns l’arrogance tient lieu de grandeur ».
Et depuis que nous savons, par la bouche du Premier Ministre, que « l’islam est compatible avec la démocratie » revendiqué par ailleurs comme «une religion d’amour, de tolérance et de paix », 130 morts et 352 blessés après le 13 novembre, nous pouvons vraiment estimer l’avoir échappé belle… « Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles » écrivait Charles Péguy… mais qu’il est dur, quand on est un personnage de Feydeau, de vouloir se conduire en héros de Corneille !...
Lors de la campagne électorale, la gauche politico-médiatique flanquée d’une droite asservie eut pour chef d’orchestre un Premier Ministre aux abois n’ayant de cesse de privilégier –à défaut de lutte contre l’insécurité et le terrorisme- l’éradication du FN allant jusqu’à proférer la menace suivante : « Si les Français élisaient Marine Le Pen en 2017, nous suspendrions le processus électoral »… preuve que ce qui intéresse et inquiète réellement le tandem Hollande/Valls, c’est le résultat de l’élection présidentielle.  
 Non content d’avoir jeté dans le désespoir des millions de Français, Valls n’eut de cesse (avec le soutien de la classe politique) de vilipender « l’extrême droite » ( !), jouant sur les émotions, employant les pires vilénies, les plus infâmes calomnies, les plus odieuses insinuations afin de détourner le mécontentement du peuple : L’essence même du fascisme !... Et pour donner plus de poids à ses fantasmes délirants, il n’hésita –sans gêne aucune- à déclarer, le 10 avril 2015, sur le plateau d’une chaîne de télévision portugaise : « la France possède l’arme nucléaire, il est hors de question que ce pays tombe entre les mains du Front National »… ce qui, compte tenu de l’énormité du « gag », fait songer à ce proverbe issu d’un terroir cher à Pagnol : « Est-ce bien la peine d’être aussi intelligent pour être aussi con ? ».
C’est ainsi que les basses accusations de ces atrabilaires patentés représentant « l’anti France », jaloux de leurs prérogatives et soucieux de les conserver, n’ont eu de cesse –comme jamais auparavant- de peser sur ce scrutin rendant actuelle cette boutade de la désopilante Arletty : « Certains ne sont jamais seuls, ils sont toujours accompagnés de leur connerie ».
Les hommes manquent souvent de logique dans leurs jugements. Comme disait si justement Flaubert, « les critiques de tous les temps sont faits pour se mettre le doigt dans l’œil ». Ils ne comprennent jamais, ou ils ne comprennent que quand il est trop tard. Ainsi les plus extérieures analogies, les plus superficielles impressions leur suffisent pour juger et de là pour dénigrer à tort et à travers. Cette pauvreté de discernement ne mériterait qu’une commisération attristée si elle ne propageait des contre-vérités.
Ces natures « au cœur sur la main » ne se font pas l’idée des jouissances solitaires de l’hypocrisie, de ceux qui vivent et peuvent respirer, la tête lacée dans un masque. Mais, quand on y pense, ne comprend-on pas que leurs sensations aient réellement la profondeur enflammée de l’enfer ? Par conséquent, il faudra beaucoup de temps, beaucoup de patience, beaucoup d’efforts désintéressés pour éliminer définitivement des esprits et des cœurs asservis par ces effrontés mensonges, tant d’erreurs et de sottises…
Oh ! Affligeante inconscience !... Peut-être cette oligarchie dominante peu scrupuleuse aime-t-elle le scandale pour le scandale, le mensonge pour le mensonge, comme on aime l’art pour l’art… Peut-être que pour certaines âmes, il y a le bonheur de l’imposture… Il y a une effroyable, mais enivrante félicité dans l’idée qu’on ment et qu’on trompe, dans la pensée qu’on joue à la société une comédie dont elle est la dupe et dont on se rembourse les frais de mise en scène par toutes les voluptés du mépris, car le mensonge, c’est du mystère redoublé, des voiles épaissis, des ténèbres faites à tout prix ! Et ces vers de Rudyard KIPLING sont là pour nous ramener à la réalité présente :
« Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
   Travesties par des gueux pour exciter des sots,
   Et d’entendre mentir sur toi leur bouche folle,
   Sans mentir toi-même d’un seul mot…
   Tu seras un homme mon fils ! »

José CASTANO

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Que ceux qui ont apporté leur soutien à l’UMPS se réjouissent… Nous l’avons vraiment échappé belle !... Vidéo à découvrir impérativement :

Cachez-moi ces blessés du 13 novembre, vraiment gênants pour les élections

C'est vraiment très gênant ces blessés du 13 novembre, car ils sont les témoins vivants de la criminelle incurie du gouvernement Hollande-Valls-Cazeneuve-Taubira. Ce sont des boulets, des empêcheurs de voter en rond dans le sens urgé par le politiquement correct. Alors on pratique l'omerta. On n'en parle plus.  Jusqu'au prochain attentat. Ils pourraient donner de mauvaises idées de vote. Le …
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OUF !... LA FRANCE EST SAUVEE !... Le fascisme n’est pas passé

OUF !... LA  FRANCE  eST  SAUVéE !...

Le fascisme n’est pas passé

« Hors de question de laisser le Front National gagner une région !... Tout devra être fait pour l’emporter. » (Manuel VALLS)

antifafascismetue  Francaisbaises

Ouf ! Nous avons eu chaud !... « Le fascisme n’est pas passé ! » et comme s’écriait Molière dans « Les femmes savantes » : « Nous l’avons, en dormant, Madame, échappé belle !... ». Les Français pourront désormais se replonger dans leur amnésie congénitale et reprendre leur sommeil…
Brave peuple, continue à ne rien vouloir entendre, ni à ne rien vouloir voir… Persiste dans ta léthargie mais, combien dur sera le réveil !... 
            Dans l’immédiat, grâce au ciel, il n’y aura pas de « chemises brunes » ; la « guerre civile » prédite par notre Premier Ministre en cas de victoire du FN, n’aura pas lieu (les émeutes, la violence et le terrorisme pourront, en revanche, perdurer) ; les camps d’internement ne seront pas ouverts ; la liberté vivra ; les « droits de l’homme » seront respectés ; l’économie repartira à la hausse ; le chômage déclinera ; la paix et la sécurité seront assurées… « L'ânerie humaine est la source des pires catastrophes... Mais aussi une mine d'or inépuisable pour qui sait l'exploiter » se plaisait à dire Montaigne.
Déjà, à la veille des élections départementales, Manuel Valls, avait clairement identifié son ennemi en jouant à outrance de la démagogie et en pesant sur les peurs : « Si je fais campagne, c’est que j’ai peur pour mon pays, peur qu’il se fracasse contre le FN » … Puis, lors du « grand rendez-vous d’Europe1 » : « Je revendique la stigmatisation de Marine Le Pen. » (...) C’est un programme qui jettera les Français les uns contre les autres ».
Ainsi le combat essentiel mené par le Premier ministre était-il clairement défini. À ses yeux, ce n’était pas l’islam (et tout ce qu’il engendre d’insécurité) qui posait problème… c’était le FN ! Pour le prouver, il prit soin d’afficher clairement devant un parterre de 150 personnalités musulmanes lors du lancement de « l’instance de dialogue », le 15 juin 2015 : « L’islam est en France pour y rester ! » et, le 17 août 2015, lors du séminaire de rentrée du gouvernement à l’Elysée, consacré à la « France de 2025 » : « L’islam est compatible avec la démocratie ». Monsieur Valls devrait aller faire un petit tour dans les pays musulmans pour voir à quel point les régimes en place sont « démocratiques »…
La Bruyère, traitant des hommes, dans « Les Caractères », a ce mot crucifiant : « À quelques-uns l’arrogance tient lieu de grandeur ».
Et depuis que nous savons, par la bouche du Premier Ministre, que « l’islam est compatible avec la démocratie » revendiqué par ailleurs comme «une religion d’amour, de tolérance et de paix », 130 morts et 352 blessés après le 13 novembre, nous pouvons vraiment estimer l’avoir échappé belle… « Le triomphe des démagogies est passager, mais les ruines sont éternelles » écrivait Charles Péguy… mais qu’il est dur, quand on est un personnage de Feydeau, de vouloir se conduire en héros de Corneille !...
Lors de la campagne électorale, la gauche politico-médiatique flanquée d’une droite asservie eut pour chef d’orchestre un Premier Ministre aux abois n’ayant de cesse de privilégier –à défaut de lutte contre l’insécurité et le terrorisme- l’éradication du FN allant jusqu’à proférer la menace suivante : « Si les Français élisaient Marine Le Pen en 2017, nous suspendrions le processus électoral »… preuve que ce qui intéresse et inquiète réellement le tandem Hollande/Valls, c’est le résultat de l’élection présidentielle.  
 Non content d’avoir jeté dans le désespoir des millions de Français, Valls n’eut de cesse (avec le soutien de la classe politique) de vilipender « l’extrême droite » ( !), jouant sur les émotions, employant les pires vilénies, les plus infâmes calomnies, les plus odieuses insinuations afin de détourner le mécontentement du peuple : L’essence même du fascisme !... Et pour donner plus de poids à ses fantasmes délirants, il n’hésita –sans gêne aucune- à déclarer, le 10 avril 2015, sur le plateau d’une chaîne de télévision portugaise : « la France possède l’arme nucléaire, il est hors de question que ce pays tombe entre les mains du Front National »… ce qui, compte tenu de l’énormité du « gag », fait songer à ce proverbe issu d’un terroir cher à Pagnol : « Est-ce bien la peine d’être aussi intelligent pour être aussi con ? ».
C’est ainsi que les basses accusations de ces atrabilaires patentés représentant « l’anti France », jaloux de leurs prérogatives et soucieux de les conserver, n’ont eu de cesse –comme jamais auparavant- de peser sur ce scrutin rendant actuelle cette boutade de la désopilante Arletty : « Certains ne sont jamais seuls, ils sont toujours accompagnés de leur connerie ».
Les hommes manquent souvent de logique dans leurs jugements. Comme disait si justement Flaubert, « les critiques de tous les temps sont faits pour se mettre le doigt dans l’œil ». Ils ne comprennent jamais, ou ils ne comprennent que quand il est trop tard. Ainsi les plus extérieures analogies, les plus superficielles impressions leur suffisent pour juger et de là pour dénigrer à tort et à travers. Cette pauvreté de discernement ne mériterait qu’une commisération attristée si elle ne propageait des contre-vérités.
Ces natures « au cœur sur la main » ne se font pas l’idée des jouissances solitaires de l’hypocrisie, de ceux qui vivent et peuvent respirer, la tête lacée dans un masque. Mais, quand on y pense, ne comprend-on pas que leurs sensations aient réellement la profondeur enflammée de l’enfer ? Par conséquent, il faudra beaucoup de temps, beaucoup de patience, beaucoup d’efforts désintéressés pour éliminer définitivement des esprits et des cœurs asservis par ces effrontés mensonges, tant d’erreurs et de sottises…
Oh ! Affligeante inconscience !... Peut-être cette oligarchie dominante peu scrupuleuse aime-t-elle le scandale pour le scandale, le mensonge pour le mensonge, comme on aime l’art pour l’art… Peut-être que pour certaines âmes, il y a le bonheur de l’imposture… Il y a une effroyable, mais enivrante félicité dans l’idée qu’on ment et qu’on trompe, dans la pensée qu’on joue à la société une comédie dont elle est la dupe et dont on se rembourse les frais de mise en scène par toutes les voluptés du mépris, car le mensonge, c’est du mystère redoublé, des voiles épaissis, des ténèbres faites à tout prix ! Et ces vers de Rudyard KIPLING sont là pour nous ramener à la réalité présente :
« Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
   Travesties par des gueux pour exciter des sots,
   Et d’entendre mentir sur toi leur bouche folle,
   Sans mentir toi-même d’un seul mot…
   Tu seras un homme mon fils ! »

José CASTANO

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Que ceux qui ont apporté leur soutien à l’UMPS se réjouissent… Nous l’avons vraiment échappé belle !... Vidéo à découvrir impérativement :

Cachez-moi ces blessés du 13 novembre, vraiment gênants pour les élections

C'est vraiment très gênant ces blessés du 13 novembre, car ils sont les témoins vivants de la criminelle incurie du gouvernement Hollande-Valls-Cazeneuve-Taubira. Ce sont des boulets, des empêcheurs de voter en rond dans le sens urgé par le politiquement correct. Alors on pratique l'omerta. On n'en parle plus.  Jusqu'au prochain attentat. Ils pourraient donner de mauvaises idées de vote. Le …
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lundi 16 novembre 2015

« Notre patrie est en danger de mort… »


« Notre patrie est en danger de mort… »

VAINCRE LE TERRORISME

« L’expérience des dernières générations me convainc pleinement que, seule l’inflexibilité de l’esprit humain, fermement dressé sur le front mouvant des violences qui le menacent, et prêt au sacrifice et à la mort en proclamant : « Pas un pas de plus ! » Seule, cette inflexibilité de l’esprit assure la véritable défense de la paix de l’individu, la paix de tous et de toute l’humanité. » (AlexandreSoljenitsyne)

            Qu’ils soient intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des adversaires réguliers. Car « vouloir donner aux choses le sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l’esprit ». Ainsi s’est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions grandioses.
Le caractère d’extrême gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France l’une de ses plaques tournantes et nous met dans l’obligation de réagir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d’expériences » révolutionnaires… d’autant plus que ces actions terroristes impliquent nécessairement une chaine de connivence et d’appui logistique sur notre sol et une préparation minutieuse…
            Cependant, notre juridiction actuelle est mal adaptée à l’action répressive que la société doit exercer contre les criminels qui mettent en cause sa légitimité. Devant pareil danger, la réaction doit non seulement s’adapter à l’adversaire en retournant contre les terroristes le conseil de Lénine : « Ne laissez jamais se constituer de Vendées », mais conduire aussi à une prise de conscience populaire. A la stratégie de déstabilisation des terroristes, la Nation doit répondre par une « stratégie de répulsion ». Cette stratégie implique en premier lieu le contrôle étroit des communautés étrangères dans le pays, afin de prévenir le prolongement sur notre territoire de luttes extérieures, partant : se protéger d’un terrorisme par « vases communicants » ou par osmose.
La mise en œuvre du plan « Sentinelle » qui mobilise actuellement 10 000 hommes sur le territoire national (et cela pour « aussi longtemps que la situation l’exigera (sic) » a précisé le ministre de la Défense -ce qui peut se traduire, comme ce fut déjà le cas pour le planVigipirate, par le maintien définitif du dispositif- ne saurait être la solution idéale car envisager la mobilisation de nos soldats (hébergés de surcroît dans des conditions précaires alors que les « sans papiers » bénéficient de chambres d’hôtels) dans la durée n’est pas la mission des armées. Un soldat est préparé à faire la guerre ; il n’a aucune formation de police et ce n’est pas sa vocation. On ne pourra donc, indéfiniment, le maintenir dans des missions statiques en limitant sa tâche à un rôle de vigile ou de « supplétif des forces de police » sous peine de l’« user », de le démotiver et d’éroder son potentiel de combat.
A la guerre révolutionnaire ou « guerre sainte » prônée par les islamistes, nous devons opposer la guerre populaire totale ou guerre de libération nationale. Face à une menace terroriste, il faut faire le choix majeur qui s’impose et en tirer toutes les conséquences ; agir sans oublier la foi formulée par Engels : « Ne jamais jouer avec l’insurrection armée et, quand on la commence, la mener jusqu’au bout ». La France est aux yeux de l’islam une aire de guerre, « dâr al-harb » (1), et elle se doit de traiter ce dernier de la même manière qu’il la traite.
Nous n’arriverons probablement jamais -en dépit de toute fermeté- à réduire totalement les actions criminelles mais il serait possible d’en limiter le nombre par l’instauration d’une juridiction et de tribunaux d’exception identiques à ceux créés par le régime gaulliste durant la guerre d’Algérie afin d’éradiquer l’OAS… et qui menèrent sans le moindre état d’âme au poteau d’exécution quatre soldats français dont deux officiers.
            Puisque cela fut accompli contre des patriotes dont le seul crime fut de vouloir conserver l’Algérie française, pourquoi cette juridiction ne serait-elle pas reconduite contre les ennemis de la France reconnus coupables d’avoir sacrifié des victimes innocentes ? Dès lors, le rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort seraient prononcés à leur endroit. Qui a tué doit être tué ! L’horreur du mal est le principe même de la justice. Elle doit s’imposer comme une règle impérative, car elle est notre propre raison. « La loi, en général, est la raison humaine –disait Montesquieuen tant qu’elle gouverne tous les peuples de la terre »
            Les demi-mesures, comme c’est le cas actuellement, ne mènent à rien car les vices impunis s’accroissent à l’infini. Mais châtier les coupables, les condamner à mort ou leur infliger une sanction à la hauteur de leurs crimes, ne ferait -dans notre société émolliente, indifférente, conservatrice- que révolter les consciences de la « bien-pensance », des associations « humanistes » et provoquer la colère des islamo-compatibles issus de la gauche bobo-caviar et de la droite capitularde et louvoyante toujours prompts à brandir le carton rouge au nom de leur angélisme républicain.
Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation. Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure, pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser : la cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel.
Négligeant cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des « égarés » ou des « déséquilibrés ». Or, on ne combat pas des terroristes avec de simples lois. On doit adopter une riposte appropriée afin de les arrêter dans leur élan velléitaire et agressif. « Plus l’Etat est corrompu, plus les lois se multiplient » clamait Tacite, cet historien et sénateur de l’antique Rome.
La France vit sous des menaces de plus en plus récurrentes que l’on ne peut contenir par la seule force de la loi. Elle est confrontée à l’un des plus graves périls de son histoire et ne doit pas s’embarrasser de préjugés pour prendre les mesures appropriées afin d’assurer sa propre survie. « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski.
            Quand la liberté est frêle, en péril, alors on ne transige pas et Saint-Just d’annoncer en ces termes la répression sanglante des mouvements contre-révolutionnaires et royalistes pendant la Révolution : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! ». C’était, certes, La Terreur mais cette célèbre citation revient en pleine actualité.
            Aujourd’hui, empêtrée dans ses règles, ses décrets et ses scrupules, voilà la civilisation paralysée par les dogmes qui la fondent et les lois qui la défendent, qui ne peut transgresser sans se renier. Et voici les barbares –forts de cette assurance- qui répandent leur terreur en voulant tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d’un passé qu’ils haïssent parce qu’ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d’imposer leur loi par l’assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu’elles n’en imaginent plus l’éventuel retour. Voici qu’enchaînées par les règles qu’elles ont accumulées pour se prémunir contres les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s’abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues… Et voici que s’écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent naturellement le plaisir d’égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées n’ont fait autant de ravages… semé autant de morts… Jamais on n’a assassiné autant d’hommes au nom du bonheur de l’humanité… Jamais le mot de Malaparte n’a été plus juste : « Jamais on n’a couché autant de Christs dans les charniers du monde ».
Et nous, pauvres occidentaux, sommes en passe de perdre cette ultime guerre qui nous est imposée parce qu’irrémédiablement condamnés à capituler… au nom de la défense de la civilisation qui n’est autre qu’un suicide devant un assaut qui en nie l’essentiel.
            Soljenitsyne a écrit : « Toute notre vie là-bas nous a appris qu’il existe un seul moyen de résister à la violence : c’est la fermeté ! »
           Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n’est plus important que l’application d’une politique de défense préventive ferme et impitoyable à l’égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit récolter la tempête.

                                                                                              José CASTANO
                                                                       e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

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« Ce qui se passe est terrible. La France ne pourra pas lutter contre le terrorisme tant qu'elle sera alliée au Qatar ou à l'Arabie saoudite » (Bachar el-Assad - Interview à « Valeurs actuelles » du samedi 14 novembre 2015)

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« Notre patrie est en danger de mort… »

Editorial prémonitoire de Roger Holeindre, président du Cercle National des Combattants, à paraître dans le prochain « Etre et Durer », organe du CNC :




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