Du nouveau
sur Saïd Arif, le terroriste échappé de Brioude : quand la connerie dépasse
l’entendement, rien ne peut plus surprendre…Qui contrôle qui dans ce pays?
Ce sont nos
confrères du journal La Montagne1, Carole Eon-Grolier et
Jean-Baptiste Ledys, qui révèlent le scandaleux pot aux roses, confirmant une
fois de plus que ce qui reste du journalisme se trouve en province, et non à
Paris où les médias n’ont même plus le ressort pour tenter de retrouver un peu
de crédibilité auprès du public…
Hier2,
nous indiquions que le terroriste (islamiste bien entendu) en résidence
surveillée à Brioude aux frais des Français, s’était échappé, et que la police
est en alerte totale pour le retrouver.
Philippe
Nicolas, le patron de la Vieille Auberge, où Saïd Arif résidait depuis six
mois, a déclaré « Lorsque je suis arrivé vers 8h30 sur le parking de l’hôtel,
j’ai aussitôt vu que la voiture de société flambant neuve de ma femme avait
disparu ».
« Je ne sais
pas pourquoi mais j’ai aussitôt fait le lien avec Saïd Arif. J’ai filé dans sa
chambre mais il avait disparu. » Le restaurateur prévient alors les gendarmes,
il est 8h45.
Un quart
d’heure plus tard, Saïd Arif ne se rend pas à la gendarmerie de Brioude comme
il en a l’obligation, quatre fois par jour.
A 9h30, le
plan Milan (un variante du plan épervier) est activé sur l’ensemble du
département de la Haute-Loire.
Trop tard,
l’islamiste avait décampé depuis samedi, à 22 heures.
Premier scandale :
Saïd Arif a
été condamné en 2007 pour plusieurs tentatives d’attentats en France, puis
libéré en 2011.
La France
avait prévu de l’expulser vers l’Algérie, mais son gentil avocat a saisi la Cour européenne des droits de l’homme, qui s’est
opposée à son expulsion, en raison de risques de torture.
Depuis, Saïd
Arif vit à l’hôtel, en « résidence surveillée » mais pas si bien surveillée que
ça, et aux frais des contribuables français qu’il veut massacrer..
Second scandale :
A sa sortie
de prison, il a d’abord habité dans un hôtel à Millau, en résidence surveillée,
et il s’en est échappé en janvier 2012. Cela n’a pas suffit à décider les cons
qui font le mur de le coller en taule. Donc ils l’ont mis dans un autre hôtel,
toujours en résidence surveillée, à Brioude (Haute-Loire) en octobre 2012.
Troisième scandale :
Le
terroriste vient de s’enfuir une seconde fois. Il devait pointer quatre fois
par jour à la gendarmerie, mais lundi matin, il avait disparu. Et sa fuite
semble avoir été programmée, car le mois dernier, il a été aperçu en
compagnie de trois islamistes radiaux, apparemment sans soulever les soupçons.
Pourtant,
les trois islamistes radicaux qui sont venus lui rendre visite ont été
reconnus, ils sont de Lyon. Ils ont été surveillés, car on sait qu’ils ont tenu
leur conversation dans une voiture pour être l’abri de micros indiscrets. Ils
ont été suivis, car ils ont été aperçus sillonnant la cité Saint-Julien. Et
d’autres signaux clairs ne trompaient pas : Saïd Arif n’utilisait plus son
téléphone portable depuis quelque temps mais une cabine téléphonique pour
passer ses appels.
Et avec ça,
on nous servira que les services de renseignement ont beaucoup appris de leurs
erreurs et bavures de l’affaire Merah. Le gendarme de St Tropez n’aurait pas
fait mieux…
Quatrième scandale: plus
con que ça, tu meurs (notez la couleur rouge):
Saïd Arif
venait de percevoir 5.000 euros de l’agence Pôle Emploi de Brioude qui lui a
servi à s’enfuir.
C’est à dire
qu’en France, un islamiste condamné pour avoir tenté de tuer des Français est
non seulement logé à l’hôtel, nourri, blanchi, à vie et avec vos impôts, mais
il reçoit en plus, de l’argent de Pôle Emploi !!!
Le mur du
con a été franchi.
L'homme qui engendra le nettoyage en Iran, et la France continue à importer ses fous de Dieu!!!
Ce petit homme de soixante-seize ans prêchait quotidiennement sous un pommier : il souhaitait la chute du régime impérial dans son pays, l'instauration de la démocratie, la liberté d'expression et du culte, le respect le plus strict des droits les plus élémentaires de l'homme. Et il ajouta : « Quand je serai de retour sur ma terre bien-aimée d'Iran, je retournerai dans ma ville et ma mosquée de Ghom, pour y prier le Tout-Puissant jusqu'à la fin de mes jours. »
On sait ce qu'il advint. Cent jours plus tard, le 1er février 1979, le saint homme regagna son pays dans l'enthousiasme général, les pelotons d'exécution firent leurs basses oeuvres pendant des mois, les geôles ne désemplirent plus, on lapida. plus de mille femmes, on assassina, on tortura, on fit la guerre avec ses voisins au nom de l'islam pur et dur, on créa le Hezbollah, on proliféra au Liban, en Palestine, en Egypte, en Afrique du Nord, en Afghanistan, on jugea et on tua au nom de Dieu.
Cet étrange touriste s'appelait Rouhollah Khomeyni. En cent jours, à Neauphle-le-Château, il changea la face du monde.
Freidoune SAHEBJAM
Le Figaro du 6 octobre 1998
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