Mr Hollande,réactive les commandos de chasse
Combat contre les islamistes en
Afrique et dans le monde
Commando de chasse intégrant le renseignement
choc
Les mercenaires
Les unités opérationnelles de renseignement
des troupes de choc durant la guerre d'Algérie, sont à l’origine de
l’anéantissement Les grandes unités fellaghas.La situation de ces groupes armés islamistes, arabes, de nationalité algérienne, naviguent dans un milieu hostile, difficilement accessible à une armée de métier conventionnelle. Ces hommes utilisent la zone centrale entre l’Algérie, Niger, Mali, Mauritanie, Tunisie, Lybie.
Le principal point d’appui de ces groupes se trouve dans les contreforts des massifs algériens. Pour lutter contre ces groupes, l’utilisation des commandos de chasse sous la même forme que celui de la guerre d’Algérie. Il est nécessaire de les combattre sur leur terrain, dans le milieu ou ils évoluent.
Le Général Challe avait compris le fonctionnement des groupes Nord vietnamiens. Il créa ces commandos, afin de réduire au plus vite les actions de harcèlement de nos troupes conventionnelles. Il faut revenir aux fondamentaux, le commando est un renard en chasse permanente.
Il ne doit pas avoir de base arrière, mais une assistance de tous les instants sur le terrain par les moyens moderne que nous avons. La traque de ces islamistes doit être permanente. Le gouvernement Français se doit de mettre en œuvre une activité dans ce domaine. La transaction basée sur les rançons doit cesser.
Le fait de parlementer avec des chefs terroristes met à mal notre politique face à ces barbares d’un autre âge. Nous devons donner aux unités des pays africains, les mêmes formes d’intervention, afin de mettre la pression sur les zones ou naviguent ces rebelles.
Bien sûr, ces alliés se doivent de fonctionner dans la même logique, qui définie un commando de chasse. Le commando de chasse gardera les règles de bases, la recherche du renseignement, nettoyage du terrain, destruction des habitats et caches rebelles, pas de prisonnier. Rendre à la nature ce que les hommes lui ont pris.
Avec cette formule acquise en Indochine et en
Algérie, elle reste la meilleure forme de combat, pour venir à bout de ces
groupes islamiques.
L’utilisation des forces aériennes tactiques dans ces
zones désertique est une erreur face a des professionnels de la contre bande
sur ces terrains. Le risque c’est la bavure sur ce genre d’intervention. Ils
n’attendent que cela en plaçant des boucliers humains, des sacrifiés au non de
Dieu.
Terrorisme &
Islamisme… Les deux mamelles de la terreur
« Du fanatisme à la
barbarie, il n’y a qu’un pas » (Denis Diderot)
Etymologiquement, le terrorisme est une
méthode d’action violente utilisée par une minorité d’exaltés qui visent à
engendrer « la terreur », c’est-à-dire à créer un climat
d’insécurité, de peur, d’effroi et d’épouvante au sein d’une population,
exercer un chantage sur un gouvernement ou satisfaire une haine à l’égard d’une
communauté… Sa caractéristique est de permettre par des moyens simples
(attentats divers, prises d’otages…) et imprévisibles, de mettre en échec les
forces militaires et de police les plus sophistiquées qui se trouvent,
soudainement, dans l’incapacité de répondre coup pour coup à un adversaire sans
visage qui se dérobe, agissant dans le secret absolu et reniant sans le moindre
scrupule les valeurs supérieures de la civilisation : Le respect de la vie
humaine.
Ainsi, qu’ils soient
intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le
viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des
adversaires réguliers. Car vouloir donner aux choses le
sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l’esprit. Ainsi s’est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions
grandioses.
Des milliers de tueurs dangereux, rompus
aux méthodes de l’assassinat, sont aujourd’hui disséminés un peu partout dans
le monde, véritables bombes à retardement prêtes à exploser sans avertissement.
Ces ennemis de la liberté et de la démocratie assimilent l’Occident –plus
particulièrement, l’Europe- à un champ de bataille et nous avons l’obligation
de les pourchasser sans trêve et les éradiquer où qu’ils se trouvent. Il
s’agit, ici, de « légitime défense ».
En France, nous ne sommes plus, désormais,
confrontés à des combattants venus de « l’extérieur », mais à des
milliers de jeunes volontaires nationaux (formés –ou dans l’attente de l’être- au djihad en Afghanistan, en
Syrie et en Irak) immergés dans une nébuleuse salafiste qui contrôle désormais
une grande partie de nos cités. Ils ne correspondent absolument pas au profil
établi par nos services, puisqu'ils s'intègrent parfaitement dans notre
société. Pas de barbes, pas de discours suspect, pas de prosélytisme… Rien ne
les différencie du citoyen lambda… Ce sont les
mêmes qui ont commis les attentats de Londres. Ce sont des jeunes Nigérians
présents depuis longtemps dans la société anglaise qui ont massacré au hachoir
un soldat britannique à Londres en 2013. A Boston, ce sont deux frères
d'origine tchétchène, installés depuis longtemps aux USA qui ont posé les
bombes du marathon. Chez nous, Khaled Kelkal, Mohamed Merah, Mehdi Nemmouche
présentaient des profils proches. Mal intégrés, shootés à l'islamisme, ils ont
trouvé dans une exaltation identitaire une raison d'être autant qu'une raison
de tuer.
En mai
2014, Europol (European Police Office), l’office de police
criminelle intergouvernemental qui facilite l'échange de renseignements entre
polices nationales en matière de stupéfiants, de terrorisme, de
criminalité internationale et de pédophilie au sein de l’Union européenne, a publié son rapport
annuel sur le terrorisme en Europe dans lequel il est clairement établi que
« La
France est au premier rang des pays exposés au risque terroriste en
Europe. » On y
apprend notamment « qu’entre 2009 et 2013, le nombre d’arrestations
d’activistes islamistes a doublé en Europe. Par ailleurs, c’est en France qu’a
été recensé le plus grand nombre d’activistes islamistes et que le nombre de
musulmans venus de France pour le djihad en Syrie a augmenté de 75% en quelques
mois ».
Et le rapport de conclure :
« La France
concentre 66% des terroristes musulmans d’Europe »
Dans son discours du 29 juin 2014, Abou Bakr al-Baghdadi, surnommé « L’Attila du Levant », chef de l’Etat
islamique (EI) qui s’est autoproclamé calife, c’est-à-dire chef de
la communauté musulmane au plan mondial, ne cache pas son ambition de voir, un
jour, la France rejoindre la oumma, c'est-à-dire, la « communauté des
croyants ». Et il y a des signes qui ne trompent pas… Lors des
récentes manifestations pro-palestiniennes contre Israël, on a vu pour la
première fois apparaître l’étendard noir de l’EI sur lequel est inscrit en
blanc : « Il n’y a de Dieu qu’Allah et Mohammed est son messager ».
C’est une image forte que les islamistes ont projeté à la face du monde,
faisant savoir, en toute impunité, que l’islamisation de la France est en
marche.
Ainsi, le caractère d’extrême
gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France l’une de ses
plaques tournantes et nous met dans l’obligation de réagir avec fermeté contre
tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du
terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d’expériences »
révolutionnaires. La fermeté et la riposte immédiate sont les seuls moyens d’éviter
de s’enliser dans la peur (ou la passivité) comme c’est le cas aujourd’hui.
Cependant, notre juridiction actuelle est mal adaptée à l’action répressive que
la société doit exercer contre les criminels qui mettent en cause sa
légitimité. Devant pareil danger, la réaction doit non seulement s’adapter à
l’adversaire en retournant contre les terroristes le conseil de Lénine : « Ne laissez
jamais se constituer de Vendée », mais conduire aussi à une prise
de conscience populaire. A la stratégie de déstabilisation des terroristes, la
Nation doit répondre par une « stratégie de répulsion ». Cette
stratégie implique en premier lieu le contrôle étroit des
communautés étrangères dans le pays, afin de prévenir le
prolongement sur notre territoire de luttes extérieures, partant : se
protéger d’un terrorisme par « vases communiquant » ou par osmose.
Les zones de
« non-droit » (désertées par les forces de police) sont à remettre au
pas, par la force légale et par le droit. En clair : Il faut rétablir l’Etat de droit dans les cités où le salafisme, qui est la nature de l’Islam,
progresse inexorablement et dont l’objet final avoué est de conquérir, non
seulement la France, mais l’ensemble du monde libre.
Par ailleurs, il faut
:
– Mettre fin à la double nationalité pour les ressortissants non européens (Pour mémoire, Merah et Nemmouche cumulaient tous deux, nationalités
française et algérienne).
- Stopper l’immigration-invasion extra-européenne et abolir le « regroupement
familial ».
- Supprimer l’acquisition automatique de la nationalité française par le droit du sol.
- Durcir les conditions d’octroi de visas pour les ressortissants des pays
pourvoyeurs de terroristes.
- Expulser les prédicateurs du djihad qui déversent leur fiel
antisémite et antichrétien dans les mosquées et sur les sites internet.
En outre, l’intangibilité des frontières doit être remise en question, dès lors qu’elle apporte plus
d’inconvénients que d’avantages.
Le 9 juillet 2014, le ministre de l’Intérieur a présenté en conseil des
ministres, un projet de loi prévoyant la création d’une interdiction
administrative de sortie du territoire français pour six mois, concernant certains ressortissants, majeurs ou mineurs, afin
d'éviter qu'ils n'aillent se radicaliser sur des théâtres d'opérations
extérieurs puis représentent une menace à leur retour.
Le 18 septembre, les députés ont, par
conséquent, voté l’interdiction de sortie du territoire, assortie d’une
confiscation du passeport et de la carte d’identité pour toute personne
soupçonnée de vouloir partir mener le djihad.
Quelle avancée spectaculaire dans la lutte
contre le terrorisme !... Ce sont nos policiers qui doivent être
contents !...
Quelle aberration que ce projet de loi !... Quel grotesque effet d’annonce !
Si nos « jeunes » veulent quitter la France pour « faire
le dhihad en Syrie ou ailleurs », mais qu’ils partent !... Et qu’on les laisse partir, bon
sang ! Sachant qu’ils passent
systématiquement de la délinquance au djihad, plus ils seront nombreux à
s’exiler de la sorte, moins nous compterons de voyous dans nos cités, plus nous
serons tranquilles… et moins il en reviendra probablement… Par ailleurs, les
frontières n’existant plus, rien de plus facile pour eux que de prendre leur véhicule
et de rouler jusqu’en Turquie. Là, les filières les prendront en charge…
Il fut un temps où l’on faisait tout pour empêcher les terroristes de
s’implanter sur notre territoire ; aujourd’hui, on fait tout pour les
empêcher de le quitter… C’est complètement délirant !
Selon le quotidien
algérien EL WATAN du 28 janvier 2014, Al Qaîda et (surtout) l’EI entraîneraient des
centaines de « jeunes » issus des pays européens en Syrie et
on estime à près d’un millier le nombre de jeunes français séjournant dans ce
pays.
Dans Le Journal de Dimanche du 14 septembre 2014, Bernard
Cazeneuve a déclaré : « 930 citoyens français ou résidents
français sont impliqués dans le jihad en Irak et en Syrie » ajoutant : « 350 sont sur le terrain, y
compris 60 femmes. Environ 180 ont quitté la Syrie et 170 sont en route vers la
région. »
De plus, près de 230
musulmans français parmi eux se dirigent vers la région tenue par les
islamistes. Et l’on estime qu’environ 36 d’entre eux y sont déjà morts, a
précisé le Ministre.
Ceci étant, ce qui
importe désormais, ce n’est pas tant que ces « jeunes » « partent »…
mais, surtout, - sachant qu’ils auront été
particulièrement formés pour commettre des attentats en France- « qu’ils
ne reviennent pas ! et le projet de loi aurait dû, prévoir d’interdirele retour des djihadistes sur le territoire national avec déchéance automatique
de la nationalité française et de supprimer les versements
des prestations sociales et familiales aux familles des enfants mineurs partis
faire le djihad du sexe et de la terreur en Syrie et ailleurs. Voilà une avancée
majeure dans la lutte contre le terrorisme qui aurait satisfait l’ensemble des
citoyens français !
Il est probable que nous n’arriverons jamais à réduire totalement les actions
criminelles mais il serait possible d’en limiter leur nombre par le
rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort envers les terroristes reconnus coupables d’avoir sacrifié des victimes innocentes. Dans la conjoncture actuelle, à quoi sert l’internement de ces
assassins alors que l’on sait qu’ils seront libérés tôt ou tard après que
d’autres terroristes, mettant en péril la vie de centaines d’otages innocents,
réclameront à coup d’exécutions sommaires ou de rançons faramineuses (toujours
payées) la libération de ces détenus ?
Par ailleurs, nous savons bien que des forces spéciales de l’armée française
sont à l’œuvre au Mali, en Centre-Afrique, dans le sud de la Libye et au nord
de l’Irak (majoritairement chrétien) pour y démanteler les
camps d'entrainement djihadistes et stopper leur avancée. Leur objectif est
précis : Eradiquer les terroristes de l’Etat Islamique. En
clair : Les
tuer ! Dans ce cas, si on peut les tuer « là-bas »,
pourquoi s’abstient-on de le faire sur le sol national alors que la situation
est préoccupante ? Quant au « politiquement correct », à
la « bien-pensance », aux « moralistes à la conscience
pure » qui seraient choqués par mes propos, je rappelle que Saint Thomas d’Aquin
légitimait, sous certaines conditions, le tyrannicide en ces termes : « Nul n’a la droit d’ôter la vie
à quiconque sauf au tyran ! » Il considérait la sédition
(terrorisme/guerre civile) comme péché contre les effets de la charité
(c’est-à-dire la paix) et justifiait que tuer un tyran n'était pas séditieux,
que cette action pouvait être donc un acte de charité envers la multitude. Et
Napoléon Bonaparte de légitimer également ce tyrannicide en ces termes : « Celui qui lutte
pour la survie de sa nation ne transgresse aucun droit ».
Lors d'une interview, il fut demandé au
Général Schwartzkopf, commandant en chef de la coalition de l'opération
« Desert Storm » (Tempête du désert) en Irak :
« Le pardon est-il envisageable pour ceux
qui ont aidé les terroristes ayant perpétré l'attaque contre les États-Unis le
11 septembre 2001 ? »
Sa réponse :
« Je crois que c'est le rôle de Dieu de
leur pardonner… Notre boulot, c'est d'organiser la rencontre ! ».
On ne peut être plus clair !...
Tandis que les prises d’otages se multiplient à travers le monde
(particulièrement en Afrique), les citoyens russes demeurent les moins
« prisés » par les terroristes. La raison en est simple. Dans les
années 1980, un Russe a été capturé au Liban. Les services soviétiques ont alors
enlevé l’un des proches des preneurs d’otages, l’ont découpé en morceaux et les
ont expédiés au Hezbollah dans plusieurs valises… Depuis, les ressortissants
russes sont rarement concernés par les rapts et cela d’autant plus que Vladimir
Poutine a prévenu les djihadistes « qu’il irait buter les
terroristes tchétchènes jusque dans les chiottes » (sic). Peut-on imaginer semblable attitude des services français ?
Ce ne serait alors qu’hululements, cris d’orfraie, vociférations et
condamnations multiples de nos « bien-pensants »…
« Le jihad ne s'arrêtera que
quand le drapeau de l'Islam flottera sur le balcon de l'Elysée et de la Maison
Blanche » a prévenu, de Libye où il réside, le Syrien,
Cheik Omar Bakri, une figure emblématique de l'Islam radical, qui a endoctriné
des dizaines de milliers d'européens. Dès lors, la complaisance envers ce
type d’ennemis ne saurait devenir qu’une coquetterie d'agonisant…
Les terroristes
islamiques font la guerre et la guerre, ce n’est pas de la philosophie… Pour
eux, il s’agit d’abord de vaincre, quels qu’en soient le prix à payer et les
moyens à mettre en œuvre. Pour les philosophes –comme il y en a trop en
Europe !- la victoire n’est rien sans le respect de quelque chose qui est
au-dessus de la victoire et nos gouvernants devraient s’inspirer de cette mise
en garde de Châteaubriand : « La liberté qui capitule ou le
pouvoir qui se dégrade n’obtient point merci de ses ennemis ».
Les demi-mesures, comme c’est le cas actuellement, ne mènent à rien car les
vices impunis s’accroissent à l’infini. Mais châtier les coupables, dans notre
société émolliente, indifférente, conservatrice, ne ferait que révolter les
consciences non contre les criminels… mais contre les victimes. Ces innocents
que le terrorisme aveugle et fanatique verse dans la mort servent à apitoyer le
monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’est pas l’indignation devant la
sauvagerie du crime, mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouve
toujours une excuse à leur acte « désespéré ».
Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand
Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en
grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le
malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes
s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une
longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits
destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation. Elles ont
imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure,
pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui
bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont
naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle
elles pouvaient peser : La cruelle mais indispensable gamme des châtiments
qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel. Négligeant
cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une
société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain,
conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des égarés et, jugés dignes de cette
indulgence, parce qu’ils sont réputés garder –au-delà de la folle parenthèse du
crime- le même respect de l’homme qui définit la communauté à laquelle ils
appartiennent.
Et, pendant ce temps, pendant que le vieux monde se meurt
et que le nouveau tarde à apparaître, pendant que s’accélère cette frénésie des
peuples acharnés à assassiner l’Occident comme pour se venger d’avoir reçu de
lui la vérité qui prête une force gigantesque à leur faiblesse millénaire, dans ce clair-obscur
surgissent les monstres… tandis que l’Occident se bat contre lui-même pour une
définition puérile de la liberté.
Soljenitsyne a écrit : « Toute
notre vie là-bas, nous a appris qu’il existe un seul moyen de résister à la
violence : c’est la fermeté ! »
Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n’est plus important
que l’application d’une politique de défense préventive ferme et impitoyable à
l’égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit
récolter la tempête.
José CASTANO
« On ne saurait accepter l’idée
que le cours meurtrier de l’Histoire est irrémédiable, et que l’esprit confiant
en lui-même ne peut influer sur la force la plus puissante du monde ! »
« L’expérience des dernières
générations me convainc pleinement que, seule l’inflexibilité de l’esprit
humain, fermement dressé sur le front mouvant des violences qui le menacent, et
prêt au sacrifice et à la mort en proclamant : « Pas un pas de plus ! » Seule, cette inflexibilité de l’esprit
assure la véritable défense de la paix de l’individu, la paix de tous et de
toute l’humanité. » (AlexandreSoljenitsyne)
o-o-o-o-o-o-o-o-o-
Conférences sur : « LES
SEIGNEURS DE LA GUERRE »
- De
l’Indochine à l’Algérie, la Légion étrangère au combat
- L’Odyssée
et la fin tragique du 1er Régiment Etranger de Parachutistes en Algérie.
« De l’Indochine à l’Algérie, le conférencier
évoque le vécu, l’héroïsme et les sacrifices de ces légionnaires, Fils de
France non par le sang reçu mais par le sang versé. Ces soldats-loups à la
démarche souple de félins, accoutumés à la chasse et au guet, infatigables dans
le chaos minéral de l’Aurès, acceptaient le défi de la guerre dans les
défilés étroits comme des pièges, sur les pitons enneigés ou brûlés par le
soleil, dans l’enfer du désert où le monde mort a chassé celui des vivants. Ces
hommes, « soldats pour mourir », constituaient le plus beau régiment du mode ; jalousés,
admirés et vénérés parce qu’ils étaient capables de mourir avec panache en
criant : « Vive la
Légion ! »
… Puis il y eut le 22 avril 1961 et le
soulèvement des meilleures unités combattantes dont le 1er REP était le « fer de lance »… sa dissolution et celle des
plus belles unités parachutistes… l’émouvant adieu de la population de Zéralda
à « ses » légionnaires… le « cessez-le-feu » et la fin tragique de
l’Algérie française… Le génocide des harkis commençait. »
Cette conférence sera
donnée par José CASTANO au Foyer rural (face au 12, rue Notre Dame) de LASSERRE DE PROUILLE (11270) – D623 – Dimanche 19 octobre à 16 heures - Entrée libre -
Contact : JJ Saragosa –
Tel. 09 79 22 73 16 ou 06 18 20 44 84 –
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire